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Les études anatomiques ont montré que les deux bandelettes du LGHI, antérieure et postérieure, ont un rôle dans la stabilité gléno-humérale
L’objectif de notre travail était ainsi d’évaluer la faisabilité d’une technique chirurgicale de reconstruction anatomique du LGHI sous arthroscopie dans l’instabilité antérieure de l’épaule.
Il s’agit d’une étude expérimentale, cadavérique réalisée sur 14 épaules. La première étape consiste à prélever le tendon du palmaris longus. L’intervention se déroule sous arthroscopie. Le labrum et la capsule sont décollés de la glène à 5h et 7h. Le tunnel glénoïdien est réalisé d’arrière en avant avec un viseur spécifique, tiers inférieur de la glène, parallèle à l’interligne. Le tunnel huméral est réalisé de dehors en dedans, le point de sortie se situe dans le récessus inférieur, limite os/cartilage Par un jeu de passe fils, le transplant est passé dans le tunnel glénoïdien d’avant en arrière, puis les deux brins sont insérés dans l’humérus selon la docking technique. Ils sont fixés à l’aide d’un endobouton en position de l’armer. La ligamentoplastie réalise un triangle à base glénoïdienne et pointe humérale. Les épaules étaient ensuite disséquées pour apprécier la position des tunnels et les rapports avec le nerf axillaire.Retrouvez vos thématiques préférées dans votre profil
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